La Boule Noire
22:00
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La saison 2 reprend le 1er février pour INTERFERENCE, avec une nouvelle DA, toujours inspirée de récits rétrofuturistes et de la sueur des clubs de jazz.
Pour 2025, on garde les mêmes fondements : une nuit de musique live ancrée dans les musiques noires, l’improvisation, l’hybridation musicale et la danse. Pour cela, on invite* des artistes français et inters défendant des projets lives renversants, des sonorités entêtantes, qui prennent toute leur ampleur au cœur de la nuit parisienne.
Adeptes des nuits introspectives ou extraverties, venez découvrir INTERFERENCE à La Boule Noire, des lives shows de 22h à 4h pensés comme une alternative au club.
ELI DAYO :
Originaire du sud de Londres, ELI est une chanteuse, compositrice et musicienne alternative qui se distingue par un son unique mêlant des voix éthérées et harmonieuses, des riffs de guitare mélodiques et des rythmes syncopés.
S’inspirant de l’indie, de la soul, du trip-hop et de la pop, sa musique porte une richesse interculturelle qui s’entrelace subtilement dans ses compositions. Sa voix profonde et expressive, alliée à des mélodies rythmiques envoûtantes, reflète un univers musical qui lui est propre.
Avec son dernier single autoproduit, Too Much, ELI démontre son talent et sa créativité à travers des rythmes percussifs bruts, des guitares ciselées et des thèmes d’émancipation et de transformation. Ce titre captivant met en lumière sa capacité à raconter des histoires avec une complexité sonore unique.
ELI continue de bâtir une communauté d’auditeurs passionnés, séduits par son esthétique musicale novatrice et profondément résonnante.
NSDOS:
NSDOS, alias Koo Des, est un artiste pluridisciplinaire français né en 1984 à Paris. Après des études de danse à l’Académie Internationale de Danse de Paris, il cherche à créer des sons sur lesquels poser ses mouvements. Il lui a alors fallu imaginer un nouvel ordre sonore, une approche alternative de la musique – par l’abstraction. Parfois qualifié de « hacker de la techno » par la presse française, il détourne les outils technologiques, créant le lien entre les machines et la matière. Il collecte des données vivantes, en utilisant ses propres capteurs de mouvement sur son corps dansant, des dispositifs interactifs ou des programmes de codage créatifs, et les injecte dans le squelette rectiligne de la techno pour en faire une matrice organique. Il invite le public à repousser avec lui les limites du corps, des objets et des sons.
+TBC
*Cette saison est bâtie main dans la main avec nos complices d’Octopüs, pour vous partager nos coups de cœurs musicaux mutuels.